Le coaching
Une méthode certifiée d’accompagnement et de développement professionnel et personnel pour développer votre potentiel, vos compétences et atteindre vos objectifs.
Le métier et la méthode de coaching professionnel se sont fortement développés depuis les années 50 aux USA et depuis près de 20 ans en Europe et en France.
Ni mentor (voir méthode du mentoring), ni psychologue, le « Coach » n’est pas un expert de la problématique traitée, mais bien un professionnel de l’accompagnement, du questionnement, votre allié pour atteindre un objectif qu’une personne n’atteindra pas seule.
La mission du coach : proposer un accompagnement personnalisé afin d’aider le.s coaché.e.s à mobiliser leurs propres ressources pour atteindre leurs objectifs professionnels et/ou personnels, c’est à dire à résoudre une problématique donnée (négocier une augmentation argumentée et justifiée, obtenir une promotion, changer de poste, à réussir une transition professionnelle, faire évoluer sa carrière en main.
Sa mission est ainsi de faire naître la solution par le coaché lui-même.
Le coaching est une technique d’accompagnement individualisé qui se déroule sous forme d’entretiens au cours desquels le coach aide l’accompagné à développer ou mobiliser les compétences dont il a besoin pour atteindre ses objectifs.
Une démarche de coaching permet ainsi de développer le potentiel du coaché pour qu’il puisse gagner en confiance, en autonomie et en responsabilité.
Objectifs
Objectifs
Le coaching s’adresser à tous.
1 session d’1h à 1h30
1 session d’1h
Chaque session
1 session
Quelle est l’éthymologie du mot « coach » ?
Le terme « coach » provient de l’anglicisme et verbe anglais « to coach » qui signifie « entraîner » dans le domaine sportif ou « faire répéter un rôle » dans le domaine artistique.
Il est également issu éthymologiquement du français « coche » (lui-même dérivé d’un mot hongrois « kocsis », qui signifie diligence) qui au 15ème siècle était une voiture de transport de voyageurs tirée par un attelage de chevaux et conduite par un « cocher ». Dans l’antiquité, le cocher au cours des batailles conduisait le char aux côté du Prince. Leur rôle à chacun, tel parfois le coach, évoque bien celui du « guide » qui accompagne ses passagers d’un point à un autre en leur faisant franchir les obstacles.
A partir des années 50, le coaching gagne via les Etats-Unis le sens d’entraîneur dans l’univers du show-business puis dans l’univers sportif. Le coach prépare l’artiste ou le champion à développer ses performances avec un accompagnement associant corps (travail musculaire, technique et tactique) et esprit (travail sur la motivation, la gestion du stress et les émotions).
Dans les années 80, dans les pays anglo-saxons, il entre dans l’univers professionnel par les dirigeants ou cadres à très haut potentiel qui souhaitent bénéficier à l’instar des plus grands champions d’un coach pour continuer à améliorer leurs performances.
En France, son apparition date environ des années 1990 : ouverture de la 1ère école de coaching à Paris en 1988 et naissance de la 1ère institution interprofessionnelle en 1996. Le sens du mot « coach » a été véritablement découvert lors du rôle prépondérant tenu par Aimé Jacquet dans la victoire de la France lors de la Coupe du Monde en 1998.Le coaching connaît depuis une progression rapide parmi toutes les strates de l’entreprise du dirigeant au middle management ainsi que les agents de maîtrise et tous les individus à titre particulier sur tous les domaines de la vie sociale, professionnelle et privée.
L’apparition et l’émergence du coaching sont donc liées à un contexte social économique, personnel de plus en plus complexe, compétitif et parfois fragilisé.
Faire face à des restructurations, réorganisations ou crises successives, s’adapter à de nouveaux modes de vie, de relations sociales, de travail bouleverse et nous demande, en tant que citoyen, salarié, entrepreneur, dirigeant, de développer une palette importante de comportements et de compétences (techniques, relationnelles et émotionnelles).
Ces mutations successives exigent aussi qu’une grande agilité et d’adaptabilité au changement.
Nos écosystèmes sont transformés et engendrent parfois des pertes de repères traditionnels.
C’est ainsi que nous recherchons et aspirons désormais à un meilleur recentrage, reéquilibrage de nos vies privées et professionnelles.
Ainsi, sont nées les disciplines de :
Le mentoring consiste en une relation entre une personne d’expérience ou qualifiée (le mentor) en situation de position « haute » avec une personne qui souhaite progresser dans un domaine ou améliorer ses compétences (le mentoré).
Bienveillante et ethique, la relation mentorale est une relation de partage et de transferts de savoirs (savoir-faire et savoir être) entre le mentor et le mentoré. Le mentor offre un soutien au mentoré en lui transmettant ses connaissances et lui prodigant des conseils dans le but de l’aider à progresser dans sa carrière, faire aboutir un projet, gagner en compétence… Le mentoring est un processus transformationnel (pour le mentor comme pour le mentoré). Il se pratique de manière informelle ou sous la forme de programmes formalisés pilotés par un professionnel en mentorat qui assure le bon fonctionnement du processus Il nécessite un engagement sous la forme d’un contrat ou d’une charte de fonctionnement entre les deux parties.
Le coaching a pour but d’aider un « coaché » à trouver ses propres réponses dans le cadre d’une démarche personnelle ou professionnelle grâce à un « coach », toujours situé en position dite « basse », formé aux techniques de l’accompagnement.
Le coach n’est pas un expert du sujet, ni du métier du coaché. Le coaching est une relation qui permet d’atteindre un ou des objectifs de développement définis dans le temps. Le mentorat s’inscrit sur le long terme.
Le coach est un professionnel souvent externe à l’organisation, dont la mission s’achève une fois l’objectif fixé atteint.
Dans le tutorat, le « tuteur » transmet sa connaissance d’une tâche, d’un savoir, savoir faire ou savoir-être et accompagne le « tutoré » dans l’apprentissage d’un nouveau métier ou d’une nouvelle tâche. Il s’assure que les savoirs sont acquis à la fin de la mission. Une évaluation du tutoré par son tuteur est alors réalisé en fin de tutorat alors que cette notion n’existait pas, préalablement dans un programme de mentoring (Mais c’est de plus en plus le cas).
Un « parrain » guide les premiers pas de son « filleul » afin de lui éviter des difficultés au sein de son parcours. Soutien, il répond aux interrogations du filleul mais n’a pas d’objectif précis à atteindre, ni contractualisation. La durée du parrainage est souvent de durée déterminée, rarement supérieure à 6 mois.